La colère de bébé

Bébé est en colère : 10 conseils pour bien réagir

A bientôt 2 ans, votre enfant a soif d'autonomie et prend goût à la revendication. C'est assez logique puisqu'il est maintenant sûr qu'il est une personne à part entière, avec des droits et des désirs qui lui sont propres. Seul problème : ses vœux ne sont pas des ordres exécutés dans le second. Comme il ne maîtrise pas encore ses émotions, il peut sortir de ses gonds. Alors, même s'il est bon et normal qu'il s'oppose pour se construire, cette déclaration d'indépendance doit absolument être cadrée pour qu'il ne devienne pas… un petit tyran. Nos conseils pour gérer au mieux la situation…

La colère de bébé : ignorez-la

Assurez-vous que votre tout-petit est déjà en sécurité. Restez calme, ignorez son « cinéma ». Laisser passer la colère d'elle-même, sans lui donner d'importance ni intervenir : elle a de très bonnes chances de s'arrêter en deux minutes !

La colère de bébé : attendez qu'il se calme

Quand un enfant est en colère, rien n'y fait. Pour le moment, inutile d'essayer de communiquer ou de crier encore plus fort : Théo, incapable de contrôler ses émotions, ne vous entendrait pas ou serait terrifié. Attendez que la crise soit terminée et que la tension nerveuse se soit calmée.

La colère de bébé : laissez-le tranquille

Au besoin, isolez votre petit en lui permettant d'aller pleurer seul dans sa chambre pour se décharger de son énergie. Il aura le droit de revenir vers vous quand toute sa colère sera partie.

La colère de bébé : ne cédez pas !

Si sa colère « paye » et que votre enfant en profite, un cercle vicieux va inévitablement se reproduire.

La colère de bébé : s'unir à son père

Quand Bébé se fâche, soyez toujours à l'unisson avec le papa : sinon, votre stratège en short se mettra dans la brèche et comprendra qu'il peut vous manipuler l'un contre l'autre pour faire gain de cause.

La colère de bébé : gardez le contrôle de la discussion

Pas question d'entrer dans des dialogues sans fin ! Vous n'avez en aucun cas à justifier vos actions et vous devez pouvoir clore la discussion en imposant votre volonté.

La colère de bébé : lâchez le lest

Certaines situations ne méritent aucune discussion : prendre ses médicaments, bien s'habiller par temps froid, s'attacher dans le siège de la voiture, etc. les uns, OK pour continuer le jeu, mais seulement cinq minutes et après, dors… Théo saura qu'il peut être entendu (et donc considéré) et obtenir un peu de ce qu'il veut.

La colère de bébé : pensez à la punition

Punition ou pas ? La sanction sera toujours proportionnelle à la bêtise commise. L'enfant est en colère parce que vous refusez de lui acheter le garage de ses rêves tout de suite ? Privez-le de petites surprises pendant un moment.

La colère de bébé : permettez-lui de réparer sa bêtise

La crise terminée, donnez-lui l'opportunité de réparer sa bêtise. Théo a eu des gestes violents qui ont fait mal ou a-t-il cassé quelque chose ? Aidez-le à rassembler les pièces du puzzle de son grand frère, « recoller les pièces »… dans tous les sens du terme.

La colère de bébé : faites la paix

Ne restez jamais sur un conflit ! Pour l'aider à se construire et à avancer, la réconciliation doit toujours mettre fin à la dispute. Après quelques mots d'explication, votre nana aura absolument besoin d'entendre que sa colère n'a en rien endommagé votre amour pour elle.

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