Psychologie

La psychosomatique peut être grave et mesquine. Les gens se plaignent souvent des petits psychosomatiques, qui n'ont de psychosomatique que parce qu'ils y croient et font attention à la moindre petite chose. Dans ce cas, le meilleur « traitement » est de faire quelque chose de plus important et de ne pas prêter attention aux petites choses. Très souvent, cela disparaît.


Correspondance Facebook. Andrey K. : Nikolai Ivanovitch, bonsoir ! Vous avez suivi la formation « Personne qui réussit », il y a quelque chose à travailler. Une telle question, souvent troublée par un spasme à la gorge, se pose principalement dans ces moments où la réalité ne répond pas à mes attentes. Que peut-on faire à propos de ce problème ? Merci d'avance : )

Nikolay Ivanovich Kozlov : Il y a deux solutions. La première est de l'ignorer, car cela n'interfère vraiment sérieusement avec rien. Avec une forte probabilité, si cela vous est complètement indifférent, cela passera tout seul. La seconde est de venir chez nos spécialistes PNL (Vinogradov, Borodina, Kostyrev), ils peuvent l'enlever en une heure. Mais c'est du travail et de l'argent. Qu'allez-vous choisir ?

Andrey K. : Nikolai Ivanovitch, bonsoir ! En fait, sur vos conseils, j'ai cessé d'y prêter attention et le spasme a cessé de me déranger. Merci!

Nikolai Ivanovich Kozlov: Eh bien, super, je suis content. Je vous en prie! Et — succès !


Les psychosomatiques graves sont le plus souvent traitées avec des suggestions, des tranquillisants et la suppression d'une situation problématique qui aurait causé des troubles somatiques. Parfois, il est prometteur d'analyser les avantages internes de la psychosomatique en espèces.

La principale difficulté est qu'il n'est jamais clair s'il s'agit de psychosomatique ou simplement de somatique, d'organique, quand ce n'est pas un psychologue, mais un médecin qui devrait aider. Qu'en découle-t-il ? Au moins avec le plus grand soin pour soulager la douleur, car il est possible d'anesthésier non pas des psychosomatiques, mais des signaux sur une vraie maladie. Voir →

Travailler avec la psychosomatique : M. Erickson

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La psychosomatique chez l'enfant : que croire, que faire ?

Les enfants feignent très souvent la psychosomatique, s'inventant tantôt une mauvaise santé et « J'ai mal au ventre », tantôt provoquant en fait des maladies en eux-mêmes, leur permettant d'éviter des situations qui leur posent problème. La façon la plus simple et la plus simple de déterminer si un enfant a vraiment une vraie maladie ou non est de créer une situation pour l'enfant où il ne sera pas rentable pour lui de tomber malade, et être en bonne santé est rentable et intéressant. Voir →

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